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Arriver au dernier échelon le B en surface, cela semble facile quand on en est au test de Qualification (il n’y a que quelques exercices de plus ainsi que trois victimes). En arrivant à l’échelon A, on sent une difficulté, les exercices, ne se font pas toujours et lors de la recherche de la deuxième victime, le chien est « oxy ». Pour l’échelon B, il faut travailler la régularité et l’endurance du chien. Le plus gros labeur est sur le maître, qu’il arrête de nuire à son DSC02063_bischien, pour exemple, dans ma recherche, ma première victime se trouvait à quatre vingt mètres sur ma droite dès le départ  sous le vent. Ma pensée : en voyant mon chien partir si loin j’ai voulu le contenir dans ma surface de recherche, mais une petite voix m’a dit « aie confiance en ton chien, il sait ce qu’il fait ». Dans l’instant qui suivait, il trouvait la victime. De même, mon chien est une horloge dans la dextérité. Les pertes de points viennent de moi, qui ne fait pas corps avec mon chien quand il va sauter, en effet, ma tête divague dans les d’exercices précédents ou dans mon interprétation toute personnelle de la réaction du Juge a mon insu. Et c’est ainsi que j’en oublie l’autorisation du Juge pour effectuer mes exercices. A ce jour, j’ai l’impression que l’acquisition de l’échelon B était  « un coup de chance », de même que mon échec à l’échelon A à Etampes était pour moi une malchance. Mon analyse actuelle est que tous les concours se ressemblent dans leurs disciplines mais l’acquisition de la maîtrise de soi fait la différence. Pour arriver à une réussite régulière de soi-même, il faut pratiquer les compétitions. Comme pour le chien qui craint les coups de feu, la solution est de le confronter assidument à cette situation.
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